décembre 1, 2022
La ville de Woodstock et la WFA finalisent un protocole d’entente
Jon Robinson
La Woodstock Flying Association et la ville ont signé un protocole d’entente pour exploiter l’aéroport de Woodstock. (Photo : Jim Dumville)
― Par Jim Dumville, journaliste à l’Initiative de journalisme local, River Valley Sun
Après une longue attente, le conseil a finalement approuvé le protocole d’entente (PE) de l’aéroport de Woodstock entre la ville et la Woodstock Flying Association (WFA). Lors de la séance ordinaire du 8 novembre dernier, le maire Art Slipp a salué l’approbation du conseil, précisant que les retards dans la finalisation du document n’impliquaient pas de gros enjeux. Néanmoins, les deux parties voulaient clarifier tous les détails.
« J’ai fait plusieurs allers-retours avec Matt McLatchy, président de la WFA », a indiqué le maire. « C’est lui qui sera l’agent de liaison avec la ville. » Le conseil de Woodstock nommera également un agent de liaison.
Les frais de hangar perçus par la ville faisaient partie des détails à finaliser. M. Slipp a déclaré que les tarifs de la ville s’élevaient à 20 cents du pied carré en 2022. En 2023, il a été convenu que ces frais passent à 30 cents du pi ca. En outre, la ville révisera les frais de hangar chaque année. Elle utilisera les fonds recueillis pour réaliser les améliorations prévues dans le plan d’aménagement. En vertu de l’entente, la ville entretiendra les terrains de l’aéroport selon les besoins, y compris la piste, l’aire de trafic, le stationnement et les terrains. L’Association aéronautique entretiendra et exploitera le pavillon, en veillant à ce qu’il soit accessible au public aviateur.
La ville travaillera avec le conseil d’administration de la WFA pour créer des plans de développement, dont un pour l’aéroport. La ville maintiendra une assurance responsabilité civile et paiera les taxes. Les responsabilités de la WFA consistent à organiser des événements liés à l’aviation et à s’assurer qu’ils se déroulent conformément à la réglementation. Elle doit également s’assurer de respecter les réglementations de la ville et de répondre aux demandes du public concernant l’aéroport (par courriels ou via les réseaux sociaux).
Finalement, par l’intermédiaire de sa liaison, la WFA doit fournir des données exactes à la publication de Nav Canada et émettre des NOTAMS (avis aux navigateurs aériens) au besoin.